En 2008, le débroussaillement d’une parcelle entourée d’un cordons d’éboulis a permis de révéler l’existence d’une capitelle effondrée et de trois rangées de souches d’oliviers.
Cette olivette, dont la date de plantation est inconnue, a été abandonnée après le gel de 1956. Une friche s’est constituée, envahie par les plantes de la garrigue puis a brûlé lors du grand incendie de 1981. Quelques années plus tard, la végétation de garrigue s’était à nouveau reconstituée.
Les souches carbonisées et stériles ont été remplacées par de nouveaux oliviers , achetés par l’association ou offerts par des particuliers.
Les membres de notre association ont rebâti la capitelle, remonté les murs du clos et assurent l’entretien des dizaines d’oliviers dont les variétés sont en cours d’identification pour créer un conservatoire de l’olivier.