Pour vous aider dans votre orientation : le Nord (avec l’olivette et la capitelle des Oliviers) correspond au point haut du site et le mazet se trouve à l’Est de la parcelle.
Rendez-vous au panneau d’information dans l’olivette où vous trouverez le plan de la promenade
A quelques mètres du panneau, la garance voyageuse se cache au pied d’un olivier. Prenez le chemin qui descend vers la capitelle du berger. En poursuivant vers le mur du soleil, laissez sur votre gauche un chêne vert.
A partir du mur du soleil, descendez en direction de la capitelle Izard : après le deuxième muret, vous découvrirez sur la droite un pistachier térébinthe ( caduque), un chêne vert, puis sur la gauche, une filaire à feuille étroite.
Derrière la capitelle Izard, en contrebas, quelques genêts scorpions attendent leur écriteau.
En quittant la capitelle Izard, longez à droite le muret pour y découvrir à son extrémité un des nombreux spécimens d’ arbousier.
Remontez alors vers les zones de pique-nique en découvrant chèvrefeuille, salsepareille.
Un peu avant la capitelle du chasseur, franchissez le muret et longez-le sur la gauche pour revenir au mur du soleil : vous découvrirez le ciste cotonneux et le brachypode rameux. Remontez vers le nord pour reconnaître un cade, un ciste de Montpellier ainsi qu’un daphné garou et apercevoir la zone de jachère dont le « fouillis » tranche au milieu des zones débroussaillées.
Repartez vers l’Est et laissez la table de pique-nique sur votre gauche. Divaguer dans cet espace pour croiser un laurier-tin puis un pin pignon. Avec un peu d’attention, vous remarquerez au sol de nombreuses dépressions régulièrement espacées : elles marquent les emplacements des oliviers dont les souches ont été extraites après le gel de 1956.
Remontez vers le Nord. Après le muret où est enchâssée la capitelle du Rachalan, obliquez à gauche pour découvrir un chêne pubescent ou chêne blanc (caduque). Traversez le muret en empruntant le petit escalier prolongé par une calade. Avant l’impluvium, l’espace un peu plus sauvage abrite pin d’Alep, chêne kermès et églantier.
Prenez à droite dans l’olivette, vers le mazet : nous y avons laissé une zone de prairie en friche à disposition des oiseaux, papillons et autres insectes.
Près du mazet, nous choisissons avec soin les variétés à planter pour interférer le moins possible avec les plantes indigènes tout en développant l’aspect mazet : cyprès de Florence, bulbine, iris…
Dans le muret sud, face au cyprès de Florence, vous découvrirez un escalier vous permettant de poursuivre, à l’est du mazet, vers la zone en cours de réhabilitation : à son extrémité, vous pourrez apercevoir les rares genêts d’Espagne, des coronilles et quelques touffes de thym. Enfin, tentez de dénicher les oliviers repartant d’anciennes souches, dont l’espacement régulier témoigne de la présence d’une ancienne olivette.
Traversez l’olivette d’est en ouest pour revenir à votre point de départ.